Le blog de girar

"Histoire à venir" de Christian Lollike

Traduction Catherine Lise Dubost

Du lundi 15 au samedi 20 avril 2013 à 20 h 30

Matinée supplémentaire le samedi 20 à 17 h

Espace municipal Pierre Richard

Faubourg de Cambrai à Valenciennes

Jean Plouchart, conseiller artistique et metteur en scène à l’Atelier Théâtre du Vieil Escaut, vous prose une pièce ô combien d’actualité ! Où se dirige notre société ? Dans quel mur va-t-elle percuter ? Qu’allons-nous devenir, nous les « petits » ?

Dans sa pièce, Christian Lollike,  nous parle, avec un humour féroce, des fléaux de notre monde : de l’immigration à la mondialisation en passant par l’indécence du marché de l’art, tout y passe.

«  Je rêve seulement de pouvoir – rien qu’une seconde- arrêter le monde. Les gens s’arrêteraient, descendraient des voitures pour s’embrasser. C’est ça mon rêve. »

Qui n’a pas entendu ou dit cette phrase ? 

Nous ne faisons que rêver, sans mesurer le poids de notre passivité car il est bien plus facile d’ignorer le monde que d’y participer. Mais est-il si facile de se positionner ? Comment peut-on participer à un monde si brutal sans perdre pied ?

La dernière partie de sa pièce laisse ouvert le champ des possibles. Et si toute personne ordinaire assumait sa participation à l’histoire à venir ?

Spectacle fort, dense. A ne pas manquer !

                N’oubliez pas de réserver au 03 27 47 43 03. Le droit d’entrée est fixé à 7,00 € pour le tarif normal et à 4,00 € pour le tarif réduit.

Du vendredi 12 au dimanche 21 octobre à 20 h 30

Les dimanches 14 et 21 à 17 h uniquement - Relâche le lundi 15

Au Centre Municipal d'Arts et Loisirs

1 Rue Salle le Comte - Valenciennes 

Les violences conjugales, violences psychologiques et physiques, c’est le thème de cette pièce. Non, on ne rit pas, on ne sourit même pas pendant que se déroule la situation proposée par Koffi Kwahulé. Avec tact, intelligence, finesse, cet auteur nous montre ce que vivent actuellement 1 femme sur dix. Il faut savoir qu’une femme meure tous les 2 jours ½ sous les coups de son compagnon.

L’histoire : « Il y a une mère qui rêve d’un fils plus ambitieux avec une femme plus docile ; il y a l’épouse en pleine ascension sociale ;  il y a une jeune secrétaire accro aux petites annonces ; il y a une femme, domestique, au service de l’épouse, une femme qui cache la raison des bleus qu’elle a sur le visage... »

L’Atelier Théâtre du Vieil Escaut, compagnie Jean Plouchart, qui s’est donné pour mission de créer les œuvres des auteurs contemporains, se doit de sensibiliser le public à ce problème qui nous touche de près. Bien sûr, on sait que cela existe, on en entend parler ; mais est-ce que l’on connaît l’ampleur du phénomène ? Non.

Et pourtant, peut-être qu’en observant mieux notre entourage, y décelera-t-on des connaissances, des amies qui connaissent ces souffrances. Il faut savoir également qu’un sentiment de honte les envahit et qu’elles ont du mal à reconnaître ce qu’elles subissent.

Mais, elles ne savent peut-être pas que les plaintes sont désormais considérées et transmises à la justice. Et que dans l’attente d’un jugement, des solutions de protection existent pour leur permettre de sortir de leur marasme.

Spectacle émouvant, fort, dense. A ne pas manquer !

Droit d'entrée : 7 et 4 €.

Du vendredi 7 au dimanche 16 octobre 2011à 20 h 30

Les dimanche 9 et 16 octobre à 17 h uniquement

Relâche le lundi 10 octobre

Centre Municipal d'Arts et Loisirs - Rue Salle le Comte

Valenciennes

Réservation au 03 27 47 43 03

Quelques mots sur la pièce

En ce premier jour de soldes, il est très énervé Bernard Matallo : on lui a collé sa belle-mère comme vendeuse, son commerce de vêtements féminins périclite, son fils ne fait rien de ses journées, son concurrent lui cherche des noises, sa femme veut se débarrasser de ce magasin sans clients…

Ecrit par Gérard Darier, maitre du genre (rappelez-vous « Les copropriétaires »), ce vaudeville ne nous laisse pas une seconde en paix et c’est avec les côtes endolories par le rire que les spectateurs sortiront de ce spectacle !

Les Photos sont en ligne

Daniel Dufour